3 clés pour tenir nos résolutions de perte de poids du 1er janvier

Ah les bonnes résolutions !

Comme chaque année, début janvier, on est motivé, et on se dit : « Il faut que je perde les kilos pris pendant les fêtes » ….

Et puis, après quelques jours, plus rien. Alors pourquoi cette fois-ci pourrait être la bonne ?

1- Et si cette année tout changé ?

Pour la plupart d’entre nous, le simple fait de penser à entamer un régime évoque des pensées et des sentiments désagréables en raison des expériences passées, des échecs.

Alors il faut changer son regard sur le régime…

Mon conseil :

Le mot « régime » est souvent associé à frustration et difficulté, et nous abordons rarement cette idée avec joie. Certes, suivre un régime n’est pas facile et peut être frustrant, mais cela a pour but de nous faire sentir mieux, c’est donc POSITIF. Alors, soyons heureux de commencer notre nouveau mode de vie alimentaire plus sain et plus métabolique.

2- La motivation

Le premier obstacle à notre réussite est de suivre un régime qui ne nous convient pas :

  • soit trop restrictif,
  • soit trop difficile,
  • soit pas adapté à notre style de vie.

Le second obstacle est notre motivation.

Vouloir changer nos habitudes alimentaires pour perdre du poids demande un effort sur soi-même.

Le simple fait de vouloir ne suffit pas, il faut avoir une réelle envie au plus profond de soi.

Cette envie de changer doit avoir plusieurs points d’ancrage, tels que :

  • Se sentir mieux dans son corps
  • Pouvoir s’acheter plus facilement des vêtements
  • Être plus à l’aise socialement,
  • Être plus sûr de soi,
  • Avoir une meilleure forme et une meilleure santé

À toi de continuer, fais la liste de tes véritables envies et objectifs.

Mon conseil :

Acquière ta liberté en arrêtant de te prendre la tête avec la nourriture, fais le choix d’une vie saine, et les contraintes du début deviendront une liberté pour ton avenir…

3- Rébellion émotionnelle

Dans les moments difficiles, nous avons tendance à reculer.

Lors de moments de difficulté, par exemple, nous pouvons avoir une envie irrépressible de manger du chocolat.

Cependant, soyons réalistes : ces compulsions doivent être occasionnelles, car si elles deviennent régulières, elles nous servent d’antidépresseur.

Et nous savons bien que cela ne nous aide en rien, au contraire, cela nous empêche d’avancer.

Alors, je t’invite à te rebeller émotionnellement, à ne plus t’enfermer, mais à te libérer de ta relation avec la nourriture !

Notre alimentation doit avant tout être notre source de vie, de forme et de dynamisme, et non un exutoire pour gérer nos émotions.

Métaboliquement,
Olivier

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