La raison principale pour laquelle on grossit ! Attention, elle va te surprendre
Personnellement, quand j’essayais de perdre du poids, je faisais la même erreur que beaucoup de gens.
Je suivais les recommandations que j’entendais à la télé, dans les magazines, sur Internet…
Et c’est vrai qu’à première vue, manger moins de graisses semble logique pour maigrir, non ?
Moins de graisses dans l’alimentation = moins de graisses sur le corps ? 🤔
Eh bien, c’est là que ça devient surprenant !
Quand on prend le temps d’étudier sérieusement l’alimentation, on se rend compte que l’augmentation de l’obésité correspond à une hausse de la consommation de glucides… et à une baisse de la consommation de graisses.
Oui, tu as bien lu :
👉 plus de glucides et moins de graisses = plus de prise de poids.
Tout simplement, on grossit !
Alors, je veux bien que des “super spécialistes” continuent à nous dire le contraire…
Mais les faits sont là. Et les chiffres, eux, ne mentent pas.
1 + 1 = 2, pas 3.
Laisse-moi juste te poser une question :
Depuis que tu suis les recommandations de “manger léger”, as-tu réussi à perdre du poids durablement ?
Personnellement, j’ai commencé à suivre ces conseils à 103 kilos…
Et après quelques années d’effets yoyo, j’ai fini à plus de 130 !
Pour te donner une idée, voici deux graphiques qui retracent l’évolution de la consommation de lipides (graisses) et de glucides aux États-Unis sur les 50 dernières années.
(Petit rappel utile : une personne a un poids “normal” quand son IMC se situe entre 18,5 et 25.
On parle de surpoids au-dessus de 25, et d’obésité au-delà de 30.)
Pour lire le graphique
FAT = LIPIDE = GRAISSE
CARBOHYDRATE = GLUCIDE
%DIET = % dans l’alimentation
Consommation moyenne de Graisses et glucides chez un adulte
BMI = IMC
MALE = HOMME
FEMALE = FEMME
Évolution IMC moyen chez l’adulte homme et femme
Aujourd’hui, on a souvent l’image des Américains “gros” en tête.
Mais il y a 60 ans, l’IMC moyen aux États-Unis était encore sous la fameuse barre des 25.
À cette époque, leur alimentation contenait environ 45 % de graisses.
Puis, progressivement, ils ont diminué leur apport en graisses et augmenté celui en glucides (carbohydrates).
👉 Résultat ? Une explosion du surpoids dans la société américaine.
Cette folie des recommandations nutritionnelles — “moins de graisses, plus de glucides” — nous a conduits droit vers le surpoids.
Pire encore : elle n’a pas amélioré notre santé.
Le vrai problème, c’est qu’au lieu d’apprendre à choisir de bonnes graisses, on les a diabolisées.
Exemple tout simple : le beurre fermier.
On l’a remplacé par des produits ultra-transformés, pleins de glucides raffinés et de farines industrielles.
Regarde un enfant aujourd’hui :
Il commence sa journée avec des céréales, puis grignote des biscuits ou une barre de céréales à la récré…
Toujours plus de sucre, encore et encore.
Il y a plusieurs années maintenant, quand j’ai fait le triste constat de mon obésité morbide, j’ai beaucoup réfléchi.
Et ma conclusion — peut-être la tienne aussi — a été simple :
👉 Les régimes qui prônent “moins de graisses” et “plus de produits allégés”… ne marchent pas.
Il me fallait autre chose.
Quelque chose de durable, de vrai.
Cela fait maintenant plus de 20 ans que je me suis libéré de mes 50 kilos en trop,
et c’est en réintroduisant des graisses saines dans mon alimentation que j’ai enfin trouvé l’équilibre.
C’est ce qui m’a permis de tenir sur la durée, sans frustration.
C’est pour toutes ces raisons que j’ai créé la Métabolique Nutrition™.
Une approche simple, humaine, et durable, pour aider chacun à retrouver son poids de forme sans se priver.
Alors si toi aussi tu veux maigrir définitivement,
n’aie plus peur de manger du vrai beurre,
ou d’ajouter une cuillère de crème entière dans ton repas.
Ton corps a besoin de vérité, pas de privation. 🌿
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Métaboliquement
Olivier
